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Comment j’ai sauvé des vies

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Résumé

Du très jeune enfant (bébé) à la personne âgée, nombreux sont les patients dont la vie est sauvée ou considérablement améliorée grâce à une transplantation d’organe. Les besoins ne cessent de croître, malheureusement tout comme le taux de refus de prélèvement. En France, la loi stipule que nous sommes tous potentiellement donneurs d’organes et de tissus, sauf si nous avons exprimé, de notre vivant, notre refus de donner. Ce refus peut être exprimé en s’inscrivant sur le registre national des refus, en rédigeant des directives anticipées, en informant ses proches et/ou son médecin traitant de cette décision. Dans ce dernier cas, au moment du décès, les proches sont interrogés. S’ils savent que le défunt était donneur, à la douleur de l’annonce de décès ne s’ajoute pas la difficulté du choix. Dire à son entourage, de son vivant, que l’on est donneur, peut sauver des vies.

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